Harry Potter (R)

Harry Potter à l’École des Sorciers (Harry Potter)
J. K. Rowling




Harry Potter est un jeune orphelin élevé par son oncle et sa tante qui le détestent. Le jour de ses onze ans, un géant nommé Hagrid vient le chercher pour l'emmener à Poudlard, une école de sorcellerie ! Au programme : cours de sortilèges, préparation de potions...
Mais le petit sorcier doit tout d'abord  acheter ses fournitures scolaires sur le Chemin de Traverse. Lors de leur passage à la banque, Hagrid se rend au coffre 713 pour prendre un petit paquet enveloppé dans du papier kraft. Il ne faut en parler à personne. Mais quand Harry découvre que Lord Voldemort, le puissant mage noir qui a tué ses parents, veut voler ce que contient le paquet et qu'il est aidé par le professeur Rogue, il fera tout pour l'en empêcher. Épaulé, par Ron et Hermione, ses deux meilleurs amis, il mène l'enquête.

Mondialement connu, ce roman mérite son succès ! Comme dirait mon professeur de français, ceux qui ont résisté à la "vague Harry Potter" sont rares ! Mais pour ceux là : n'hésitez pas ! Plongez-vous dans ce roman sans retenue, il a tous les ingrédients d'un bon livre : un univers bien construit, des personnages attachants, un peu d'humour et d'action.

Édition : Folio junior
Collection : Harry Potter
Tome : 1
Genre : Roman fantastique
Nombre de pages : 312 (en poche)

Une étrange monnaie :
     Hagrid aida Harry à remplir un sac de pièces.
     - Celle en or sont des Gallions, lui expliqua-t-il. En argent, ce sont les Mornilles. Il y a dix-sept Mornilles d'argent dans un Gallion d'or et vingt-neuf Noises de bronze dans une Mornille. C'est facile à retenir.

Des monstres cachés :
     Devant leurs yeux, un chien monstrueux remplissait tout l'espace entre le sol et le plafond. L'animal avait trois têtes : trois paires d'yeux étincelant d'une lueur démente, trois museaux qui les flairaient en frémissant avec avidité et trois gueules bavantes hérissées d'énormes crocs jaunâtres d'où pendaient des filets de salive épais comme des cordes.

Des fantômes insupportables :
     - Où sont-ils allés, Peeves ? demandait Rusard. Vite, dis-moi.
     - On dit : où sont-il allés s'il te plaît, quand on est poli.
     - Ça suffit, Peeves, ce n'est pas le moment de faire l'idiot. Par où sont-ils partis ?
     - Je dirai quelque chose quand on me dira s'il te plaît, chantonna Peeves de son ton le plus exaspérant.
     - Bon, d'accord. S'il te plaît.
     - QUELQUE CHOSE ! Ha ! Ha ! Ha ! Je vous avez prévenu. Je dirai "quelque chose" quand on me dira s'il te plaît ! Ha ! Ha ! Ha !

Un château extraordinaire :
     Il y avait cent quarante-deux escaliers, à Poudlard, des larges, des étroits, des courbes, des carrés, des délabrés, certains avec une ou deux marches escamotables qu'il fallait se souvenir d'enjamber pour ne pas tomber, ou d'autres qui menaient ailleurs le vendredi. Il y avait aussi des portes qui refusaient de s'ouvrir si on ne le leur demandait pas poliment, ou si on ne les chatouillait pas au bon endroit, et d'autres qui n'étaient que des pans de mur déguisés en portes. Il était aussi très difficile de se souvenir où les choses se trouvaient car tout bougeait sans cesse. Les gens représentés sur les tableaux accrochés aux murs passaient leur temps à se rendre visite les uns aux autres et Harry était persuadé que les armures se promenaient parfois dans les couloirs.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire